Bienvenue à la galerie La Factory
"Explosition chromatique" :
avec
Karine Auregan - dessin,
Bepe - sculpture
Nathalie Bitan - dessin
Benoit Di Marco, photo
Camille Sauton - dessin
l’exotisme. J’utilise la peinture comme un moyen d’évasion et de rencontre avec moi-même et avec les autres.
Amatrice de couleurs intenses, je recherche le choc émotionnel propre aux toutes
premières rencontres.
Je peins pour exprimer mes émotions,figer ce qui me plait et créer des mondes
parallèles où je me sens libre et joyeuse.
Mes œuvres réalisées principalement à l’aquarelle et à l’encre de Chine nous invitent
à rêver et à nous questionner ensemble sur notre vie, nos désirs, nos projets ou tout
ce qui pose question et mérite introspection et/ou élucidation.
Chaque œuvre, tel un miroir reflétant nos mondes intérieurs,nous propose de
raconter notre histoire singulière et invite chacun.eà s’exprimer librement.
Ayant pris quelques cours de dessin enfant et issue d’une famille d’artistes, je désire
montrer que l’expression artistique est un droit qu’il faut faire nôtre, une« liberté de
jeu » accessible à tous.
Avec mes peintures, je souhaite proposer un « monde à côté du monde » où tout est
possible.
Ce monde est une invention : une invitation à un voyage fantasmagorique à la
rencontre de personnages extraordinaires ne s’interdisant rien, parés de mille
couleurs improbables et qui ont pour but de sublimer notre quotidien.
Nimbés de mystère, mes personnages peuvent être portraiturés, figés dans leur
environnement personnel, comme surpris d’exister grâce à votre regard.
Ils se promènent également parfois à l’intérieur de scènes oniriques, mêlés à des
figures imaginaires et des signes symboliques.
Ma quête est de m’amuser à débusquer « Le merveilleux dans le quotidien » puis de
l’offrir en cadeau.
Expositions principales
SOLO Galerie La Source Fontaine les Dijon, Hôtel de Vogué, Ordre des avocats de
Dijon, Espace Culturel L’escale à Talant, RDJ Fontaine les Dijon, CGFL Dijon
Bepe - sculpture
Mobile : 06 30 44 78 16
Loin des circuits commerciaux, Bepe suit sa route d'artiste partageant son temps entre des activités autours de décors de spectacles et ses activités artistiques (musicien, peintre et sculpteur). Bepe dans son humilité non feinte, peut avec le même naturel, poser un croquis sur son carnet de route ou créer une sculpture aux formes imaginaires, le tout sans jamais donner de leçon.
Les sculptures de Bepe nous plongent
dans un décor qui semble sorti tout droit d'une nouvelle fantastique ; par
leurs réflexions sur le monde, elles sont l'ouverture vers une vision autre, un
petit pas vers du meilleur...
Connaître les réponses à une question telle que : « Où
et quand a-t-il été atteint par ce besoin violent et permanent de liberté ? », nous
permettrait de mieux comprendre cet artiste inclassable et iconoclaste mort il
y a de cela fort longtemps dans un futur oublié.
Bepe est le fils d'un indicible tohu-bohu. L'art et la révolte se lient
dans son histoire. Il est l'inlassable guerrier de toutes les luttes sociales.
A ce propos, Berthold Brecht, qui aurait aimé le rencontrer, disait : « Celui
qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu ».
Ce besoin extraordinaire qu'il a de liberté ,et qui
marquera son passé, se trouve dans son comportement
très spécial par rapport à son art. C'est là le lourd héritage de sa génération
; les malheureux enfants du Spoutnik et des illusions perdues
dans les bulles euphoriques du champagne des
années quatre-vingt. S'il devient scénographe, son décor est insolite,
s'il devient sculpteur le médium
devient précieux, s'il devient musicien, la scie à ruban pleure. Son
regard différent sur l'univers et ses formes déformées, reformées,
protéiformes, jamais uniformes et encore moins formatées, glisse sous une peau
rouge et lisse comme des cerises au printemps
et prouve à quel point Bepe a dirigé toute sa tension intérieure vers sa création.
C'est un Zeus qui ne croit pas en lui, un mécréant de l'art en tête de gondole,
un rêveur éveillé, un magicien du pinceau, un timonier du mot et un bâbordais
de la valseuse électrique.
Un œil sur le galet et c'est son jardin intérieur qui récite des poèmes au barbecue en colère. Le fruit rouge explose sous la pression intérieure et délivre le jus secret de la liberté sur le visage desséché de la haine ordinaire. Levons nos verres et chantons aux générations du passé. Elles comprendront mieux son œuvre que nous. Et comme le triangle fut la forme de l'équilibre de la Renaissance, les formes de Bepe, découpées dans les plaintes de notre époque, seront les ombres de notre temps.
Professeur Josko

Nathalie Bitan - dessins
Après un Bac histoire de l’art, Nathalie Bitan suit une formation de comédienne. Très vite, elle rencontre des metteurs en scène et elle travaille sur de nombreux spectacles, notamment avec la compagnie Barbès 35 Cendre Chassanne et la Compagnie des Hommes Didier Ruiz. Avec le spectacle « Polar grenadine », elle a pu joindre sa passion du dessin et son travail de comédienne en créant des dessins projetés. Pour cela, elle a travaillé en étroite collaboration avec la vidéaste Zita Cochet. Les portes ouvertes de Lormes seront pour elle, une première pour exposer ses dessins.
Benoit Di Marco - photographe
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Photographe par passion. Au cours de voyages ou de travail. En réponse à des commandes.
Mais avant tout comédien, lauréat d’Émergence 2003, talent Cannes 2000, prix d’interprétation au Festival de Clermont-Ferrand, associé au prix Nobel de la Paix avec Handicap International.
Il joue au théâtre sous la direction de L. Pitz, H. Mathon, P. Haggiag, M. Jocelyn, L. Vacher, C. Backès, C. Simoneau, P. Clévenot, B. Bonvoisin, L. Lévy, G. Rannou, B. Lambert, P. Guillois, K. Kushida, É. Vigner, A. Stammbach, B. Giros, Ulf Andersson... Au cinéma et à la télévision, il joue sous la direction de P. Elbe, T. Lilti, V. Lemercier, É. Judor, F. Mermoud, N. Guicheteau, F. Lantiéri, F. Goupil et J. Peter, O. Guignard, É. Guirado, M.Gibaja, B. Corcos, K. Lima, I. Cohen, T. Jousse, J. Pinheiro, O. Horlaix,...
Il met en scène Moule Robert de M. Bellemare, Variations Sérieuses et Les petites personnes d'E. Delle Piane, Letizia d'A. Gatti ; il co-écrit 1sultes avec X. Charles et N.Bitan (peformance) ; il adapte avec L. Pitz Les Furtifs d'A. Damasio (création décembre 2020), avec H. Mathon Gros-Câlin d’Émile Ajar (R. Gary) ; il écrit avec H. Mathon 100 ans dans les champs et avec L. Vacher Le mystère de la météorite, d’après les oeuvres de Théodore Monod ; il réalise plusieurs courts métrages et comme photographe en plus de plusieurs expositions, il réalise une série Champs. pour la scénographie de L’histoire du soldat mis en scène par L. Lévy au Saito Kinen Festival dirigé par Seiji Ozawa, pour lequel il est aussi son collaborateur artistique
Depuis 2010, il est membre de À mots découverts, collectif réuni autour de la découverte
et de l’expérimentation de l’écriture dramatique contemporaine.
De 1993 à 1999, il fonde puis dirige un collectif d’artistes Eclat Immédiat et Durable. Il écrit
et met en scène plus d’une dizaine de spectacles de rue qui tourneront en France et en
Europe.
Site de Benoit Di Marco : http://5e9581940a338.site123.me/

Camille Sauton - dessin
Instagram : camsaux
Franco-anglaise, j’ai grandi à Paris tout en ayant accès depuis l’enfance à la campagne anglaise et l’approche esthétique des jardins anglais transmise par mon grand-père horticulteur. Géologue de formation et cartographe de profession, je me nourris actuellement de philosophie à l’université Paris-Nanterre. Le dessin me permet d’exprimer mon rapport au géologique et à mes mouvements intérieurs.
Thierry GRAPOTTE - Photographe
Moteur à ma pratique, il y a la façon dont la photographie interroge nos manières d’appréhender le visible au quotidien. Manières pour la plupart usées par l’habitude et vouées à la reconnaissance et à l’identification de ce qui nous est immédiatement utile, profitable ou commode.
Animé de la sorte depuis une dizaine d’année, je saisi du réel des images empreintes de perplexité et d’ambivalence. Des images discutables, douteuses voire mutiques. Des images que je rapproche, agence et combine entre elles ou bien que j’associe à certaines catégories de mots - verbes à l’infinitif, conjonctions ou adverbes.
Des expérimentations que je façonne avec l’intention de laisser advenir entre les images et le regard qui leur fait face, d’autres possibilités de reconnaissances et d’identifications. Où regarder deviendrait un acte, celui de voir. Acte par lequel chacun.e peut devenir auteur.e de ce qu’iel voit tout autant que de ce qu’iel ne voit pas.
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